Ce master s’adresse à des étudiants voulant se spécialiser dans la recherche en éducation mais forge aussi des compétences pour des métiers de chargés de mission ou de projets au sein des collectivités territoriales, de la formation des adultes, d’enquêteurs dans des organismes privés ou publics (comme l’INSEE ou l’INJEP), sans exclure les métiers de l’enseignement.
Présentation
L’organisation du cursus permet une formation solide en sociologie comparée des systèmes éducatifs, en analyse des politiques publiques d’éducation, en économie de l’éducation et méthodologie statistique, et propose des outils d’analyse permettant l’inscription dans des métiers de l’enseignement et de la formation, la recherche dans des collectivités territoriales et corps consulaires. Dans le contexte d’une territorialisation de plus en plus forte de l’action éducative, manifeste par exemple avec la mise en place des PEDT (Projets Educatifs Territoriaux) et la multiplication des dispositifs de lutte contre les difficultés scolaires (PRE, dispositif plus de maîtres que de classes, etc.) l’enjeu est de proposer des professionnels qui soit à même de proposer une expertise tournée vers le conseil et l’action, qui fait encore défaut. La plupart des mairies sont désormais « équipées » de services relatifs à l’éducation (accompagnement scolaire, périscolaire, petite enfance, centres de formation pour adultes) qui pourraient profiter d’une offre de spécialistes des questions éducatives pour coordonner les actions, formuler des conseils, concevoir des dispositifs (par exemple de soutien à la scolarité) reposant sur la possibilité de réaliser des évaluations à la fois pour construire un « diagnostic » et pour impulser un dispositif d’amélioration d’une politique. En effet, ces services existent déjà, mais ils sont parfois assurés par des professionnels de l’action sociale ou de l’animation qui se voient confier un « secteur » d’éducation, mais qui ne possèdent pas nécessairement un bagage scientifique substantiel sur ces questions ou alors des bénévoles (exemple de l’aide aux devoirs qui peut être très développée dans une commune, mais peu évaluée). Contrairement au parcours de master PESE, la priorité n’est pas ici mise sur le « pilotage » et l’outillage des personnels de l’éducation nationale, mais au conseil et à la construction de politiques locales de lutte contre les inégalités à travers des dispositifs bien précis : périscolaire, accompagnement scolaire, intervention contre des difficultés scolaires, aides aux devoirs, etc. La formation de nos étudiants est ouverte à des missions de collaboration avec l’Education Nationale sur ses dispositifs spécifiques, mais elle se veut plus large.
La nécessité de cette expertise reste d’une brûlante actualité : en effet, de nombreuses évaluations scientifiques de « grands » dispositifs de lutte contre la difficulté scolaire (PRE, Coups de pouce, etc.) ont montré que, malgré les moyens engagés, les résultats n’étaient pas toujours à la hauteur des attentes. Entre le cadre national qui est à la fois souvent à la fois contraignant quant à la forme et flou quant au contenu il manque un niveau d’analyse, d’expertise à mettre en oeuvre, car celle-ci est souvent laissée à l’initiative des acteurs qui peuvent mobiliser des représentations et des actions qui font obstacle aux objectifs recherchés. Pour essayer de remédier à ces problèmes, notre formation propose, outre des outils permettant l’évaluation quantitative des politiques publiques, une formation à l’observation et à l’observation participante, à l’entretien, c’est-à-dire autant de compétences permettant de faire un lien entre le contenu d’une politique construit par les acteurs, ses effets observables quantitativement et les contraintes organisationnelles (qui peuvent être déterminantes, comme on le voit avec la « réforme des rythmes »). Il s’agit d’apporter et de proposer un niveau d’expertise entre des « acteurs de terrain » et des grandes orientations nationales qui sont relativement larges.
Ce parcours permet de même de préparer les étudiants à présenter les concours de la fonction publique.
Objectifs scientifiques
Cette formation est adossée à l’IREDU (Institut de Recherche sur l’Éducation : Sociologie et Économie de l’Éducation), laboratoire nationalement et internationalement reconnu dans la recherche en éducation. Cette équipe travaille sur des thèmes tels que les compétences non académiques, les relations entre l’éducation et l’insertion professionnelle, la « fonction de production de l’école » (« effet-maître », « fonctionnement de l’orientation », « évaluation d’innovations pédagogiques », etc.), l’économie des nouveaux moyens d’information et de formation, le financement optimal de l’éducation, les inégalités de réussite éducative. En parallèle à ces travaux déjà nombreux sur l’évaluation des systèmes et des politiques éducatives, l’équipe dé-veloppe des travaux dans le domaine de l’éducation comparée. Elle s’appuie sur un réseau international particulièrement développé et reconnu tant pour la recherche que pour l’enseignement et diverses universités qui ont donné lieu à des conventions inter-établissements et plusieurs co-tutelles de thèse en cours (Colombie, Québec, Algérie, Afrique, Russie). Nos chercheurs sont régulièrement sollicités comme experts par les ministères (ministère belge de l’éducation pour l’évaluation des programmes du FNRS, Fonds québécois de la re-cherche scientifique (FQRS), ministère français de l’Éducation nationale), par les collectivités territoriales (Conseil Régionaux, Conseils Généraux) et d’autres organismes de recherche (IRES Institut de Recherche en Économie Sociale, Observatoire International de la Violence à l’Ecole). Ces réseaux permettent d’ouvrir des possibilités de stage à l’étranger et d’améliorer la socialisation professionnelle nationale et internationale des étudiants.
Outre sa compétence « historique » dans le domaine de l’éducation, l’IREDU a étendu son domaine d’expertise aux méthodes qualitatives, en complémentarité et non pas en opposition avec les méthodes quantitatives. Cette nouvelle expertise s’est illustrée par la conduite de plusieurs recherches financées, l’une par la DEPP, une dans le cadre de BQR ESPE, et une autre par la région sur la mise en oeuvre des temps éducatifs. Toutes ces enquêtes associent la connaissance statistique de mécanismes à l’oeuvre et la compréhensive fine, a plus près des trajectoires des individus, de ces mécanismes. Par la suite, en M2, les étudiants participent directement à ces enquêtes collectives et affinent ce faisant leurs savoirs pratiques, dans des recherches « grandeur nature ». L’IREDU salarie d’ailleurs des étudiants formés dans le cadre du master par le biais de contrats (par exemple d’ingénieur d’études) qui offrent une expérience professionnelle valorisée (certains, par exemple, ont été recrutés après avoir travaillé un an avec nous pour gérer, dans le cadre d’emplois associatifs, des services périscolaires et ce, grâce à la connaissance des enquêtes de terrain).
L’objectif essentiel du Master « Expertise sociologique et économique en éducation » est de former des chercheurs et des spécialistes des systèmes éducatifs. Elle a pour objectif une formation de haut niveau sur le plan méthodologique et épistémologique : méthodes quantitatives et qualitatives de recherche, analyse des données, utilisation de logiciels de traitement des données afin de permettre l’évaluation de l’efficacité des poli-tiques et programmes d’intervention en éducation. Bien que le diplôme soit fortement orienté vers une ap-proche quantitative en lien avec la tradition de recherche jusqu’alors développée à l’IREDU, il apparaît important de proposer une formation aux méthodes qualitatives de recueil et d’analyse des données dans l’optique d’une formation complète assurant une complémentarité des méthodes dans l’approche scientifique. Le parcours proposé vise la production de connaissances sur la structuration des systèmes éducatifs tant au niveau international, national que local (effet établissement, effet classe, climat scolaire, lien école/quartier), leur évaluation, mais aussi la capacité à proposer des solutions, qui peuvent s’appuyer à la fois sur des analyses et des enquêtes menés auprès des publics concernés. Il vise aussi à approfondir la connaissance des fon-damentaux en sciences de l’éducation et des publics difficiles ou en difficulté et à mettre ces connaissances au service de l’action.
Objectifs professionnels
Les débouchés potentiels des étudiants titulaires du Master ne sont pas uniquement dans la poursuite en thèse et l’accès à l’enseignement supérieur et la recherche publique.
Le Master propose une formation théorique mais aussi pratique aux métiers de la recherche afin de faciliter l’insertion professionnelle des étudiants ne désirant pas réaliser un doctorat. Ainsi les étudiants effectuent un stage professionnel de 4 semaines en Master 1, participent activement à des recherches concrètes de l’IREDU (20h TP) et réalisent un mémoire de recherche à même de leur faire acquérir les gestes professionnels qui leur permettront de s’insérer dans divers milieux professionnels. Ces débouchés peuvent prendre la forme de postes de chargés d’études ou chefs de projets dans les services (centraux mais aussi académiques) spécialisés dans l’évaluation et les services des ministères de l’Éducation, mais aussi dans les autres ministères qui ont en charge des activités de formation, d’insertion ainsi que dans les collectivités territoriales.
Par ailleurs, un grand nombre d’étudiants en formation initiale, en raison de la masterisation des métiers de l’enseignement, viseront l’obtention d’un Master pour pouvoir présenter les concours principalement de Professeur des Ecoles et de Conseiller Principal d’Éducation. Le Master Expertise sociologique et économique en éducation (analyse, enquêtes, évaluation) propose des contenus à même de les préparer à ces concours et aux métiers y afférant en termes de connaissance des systèmes éducatifs.
Scolarité
Secrétariat Sciences de l’éducation
Département Sciences de l’éducation – Bureau R10 – 6 bvd Gabriel – 21000 DIJON
Solène Chasez Tél. 03 80 39 37 88
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Ce master s’adresse à des étudiants voulant se spécialiser dans la recherche en éducation mais forge aussi des compétences pour des métiers de chargés de mission ou de projets au sein des collectivités territoriales, de la formation des adultes, d’enquêteurs dans des organismes privés ou publics (comme l’INSEE ou l’INJEP), sans exclure les métiers de l’enseignement.
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L’organisation du cursus permet une formation solide en sociologie comparée des systèmes éducatifs, en analyse des politiques publiques d’éducation, en économie de l’éducation et méthodologie statistique, et propose des outils d’analyse permettant l’inscription dans des métiers de l’enseignement et de la formation, la recherche dans des collectivités territoriales et corps consulaires. Dans le contexte d’une territorialisation de plus en plus forte de l’action éducative, manifeste par exemple avec la mise en place des PEDT (Projets Educatifs Territoriaux) et la multiplication des dispositifs de lutte contre les difficultés scolaires (PRE, dispositif plus de maîtres que de classes, etc.) l’enjeu est de proposer des professionnels qui soit à même de proposer une expertise tournée vers le conseil et l’action, qui fait encore défaut. La plupart des mairies sont désormais « équipées » de services relatifs à l’éducation (accompagnement scolaire, périscolaire, petite enfance, centres de formation pour adultes) qui pourraient profiter d’une offre de spécialistes des questions éducatives pour coordonner les actions, formuler des conseils, concevoir des dispositifs (par exemple de soutien à la scolarité) reposant sur la possibilité de réaliser des évaluations à la fois pour construire un « diagnostic » et pour impulser un dispositif d’amélioration d’une politique. En effet, ces services existent déjà, mais ils sont parfois assurés par des professionnels de l’action sociale ou de l’animation qui se voient confier un « secteur » d’éducation, mais qui ne possèdent pas nécessairement un bagage scientifique substantiel sur ces questions ou alors des bénévoles (exemple de l’aide aux devoirs qui peut être très développée dans une commune, mais peu évaluée). Contrairement au parcours de master PESE, la priorité n’est pas ici mise sur le « pilotage » et l’outillage des personnels de l’éducation nationale, mais au conseil et à la construction de politiques locales de lutte contre les inégalités à travers des dispositifs bien précis : périscolaire, accompagnement scolaire, intervention contre des difficultés scolaires, aides aux devoirs, etc. La formation de nos étudiants est ouverte à des missions de collaboration avec l’Education Nationale sur ses dispositifs spécifiques, mais elle se veut plus large.
La nécessité de cette expertise reste d’une brûlante actualité : en effet, de nombreuses évaluations scientifiques de « grands » dispositifs de lutte contre la difficulté scolaire (PRE, Coups de pouce, etc.) ont montré que, malgré les moyens engagés, les résultats n’étaient pas toujours à la hauteur des attentes. Entre le cadre national qui est à la fois souvent à la fois contraignant quant à la forme et flou quant au contenu il manque un niveau d’analyse, d’expertise à mettre en oeuvre, car celle-ci est souvent laissée à l’initiative des acteurs qui peuvent mobiliser des représentations et des actions qui font obstacle aux objectifs recherchés. Pour essayer de remédier à ces problèmes, notre formation propose, outre des outils permettant l’évaluation quantitative des politiques publiques, une formation à l’observation et à l’observation participante, à l’entretien, c’est-à-dire autant de compétences permettant de faire un lien entre le contenu d’une politique construit par les acteurs, ses effets observables quantitativement et les contraintes organisationnelles (qui peuvent être déterminantes, comme on le voit avec la « réforme des rythmes »). Il s’agit d’apporter et de proposer un niveau d’expertise entre des « acteurs de terrain » et des grandes orientations nationales qui sont relativement larges.
Ce parcours permet de même de préparer les étudiants à présenter les concours de la fonction publique.[/kc_column_text][/kc_accordion_tab][kc_accordion_tab title="Objectifs scientifiques" _id="51284"][kc_column_text _id="726243"]
Cette formation est adossée à l’IREDU (Institut de Recherche sur l’Éducation : Sociologie et Économie de l’Éducation), laboratoire nationalement et internationalement reconnu dans la recherche en éducation. Cette équipe travaille sur des thèmes tels que les compétences non académiques, les relations entre l’éducation et l’insertion professionnelle, la « fonction de production de l’école » (« effet-maître », « fonctionnement de l’orientation », « évaluation d’innovations pédagogiques », etc.), l’économie des nouveaux moyens d’information et de formation, le financement optimal de l’éducation, les inégalités de réussite éducative. En parallèle à ces travaux déjà nombreux sur l’évaluation des systèmes et des politiques éducatives, l’équipe dé-veloppe des travaux dans le domaine de l’éducation comparée. Elle s’appuie sur un réseau international particulièrement développé et reconnu tant pour la recherche que pour l’enseignement et diverses universités qui ont donné lieu à des conventions inter-établissements et plusieurs co-tutelles de thèse en cours (Colombie, Québec, Algérie, Afrique, Russie). Nos chercheurs sont régulièrement sollicités comme experts par les ministères (ministère belge de l’éducation pour l’évaluation des programmes du FNRS, Fonds québécois de la re-cherche scientifique (FQRS), ministère français de l’Éducation nationale), par les collectivités territoriales (Conseil Régionaux, Conseils Généraux) et d’autres organismes de recherche (IRES Institut de Recherche en Économie Sociale, Observatoire International de la Violence à l’Ecole). Ces réseaux permettent d’ouvrir des possibilités de stage à l’étranger et d’améliorer la socialisation professionnelle nationale et internationale des étudiants.
Outre sa compétence « historique » dans le domaine de l’éducation, l’IREDU a étendu son domaine d’expertise aux méthodes qualitatives, en complémentarité et non pas en opposition avec les méthodes quantitatives. Cette nouvelle expertise s’est illustrée par la conduite de plusieurs recherches financées, l’une par la DEPP, une dans le cadre de BQR ESPE, et une autre par la région sur la mise en oeuvre des temps éducatifs. Toutes ces enquêtes associent la connaissance statistique de mécanismes à l’oeuvre et la compréhensive fine, a plus près des trajectoires des individus, de ces mécanismes. Par la suite, en M2, les étudiants participent directement à ces enquêtes collectives et affinent ce faisant leurs savoirs pratiques, dans des recherches « grandeur nature ». L’IREDU salarie d’ailleurs des étudiants formés dans le cadre du master par le biais de contrats (par exemple d’ingénieur d’études) qui offrent une expérience professionnelle valorisée (certains, par exemple, ont été recrutés après avoir travaillé un an avec nous pour gérer, dans le cadre d’emplois associatifs, des services périscolaires et ce, grâce à la connaissance des enquêtes de terrain).
L’objectif essentiel du Master « Expertise sociologique et économique en éducation » est de former des chercheurs et des spécialistes des systèmes éducatifs. Elle a pour objectif une formation de haut niveau sur le plan méthodologique et épistémologique : méthodes quantitatives et qualitatives de recherche, analyse des données, utilisation de logiciels de traitement des données afin de permettre l’évaluation de l’efficacité des poli-tiques et programmes d’intervention en éducation. Bien que le diplôme soit fortement orienté vers une ap-proche quantitative en lien avec la tradition de recherche jusqu’alors développée à l’IREDU, il apparaît important de proposer une formation aux méthodes qualitatives de recueil et d’analyse des données dans l’optique d’une formation complète assurant une complémentarité des méthodes dans l’approche scientifique. Le parcours proposé vise la production de connaissances sur la structuration des systèmes éducatifs tant au niveau international, national que local (effet établissement, effet classe, climat scolaire, lien école/quartier), leur évaluation, mais aussi la capacité à proposer des solutions, qui peuvent s’appuyer à la fois sur des analyses et des enquêtes menés auprès des publics concernés. Il vise aussi à approfondir la connaissance des fon-damentaux en sciences de l’éducation et des publics difficiles ou en difficulté et à mettre ces connaissances au service de l’action.[/kc_column_text][/kc_accordion_tab][kc_accordion_tab title="Objectifs professionnels" _id="714163"][kc_column_text _id="966653"]
Les débouchés potentiels des étudiants titulaires du Master ne sont pas uniquement dans la poursuite en thèse et l’accès à l’enseignement supérieur et la recherche publique.
Le Master propose une formation théorique mais aussi pratique aux métiers de la recherche afin de faciliter l’insertion professionnelle des étudiants ne désirant pas réaliser un doctorat. Ainsi les étudiants effectuent un stage professionnel de 4 semaines en Master 1, participent activement à des recherches concrètes de l’IREDU (20h TP) et réalisent un mémoire de recherche à même de leur faire acquérir les gestes professionnels qui leur permettront de s’insérer dans divers milieux professionnels. Ces débouchés peuvent prendre la forme de postes de chargés d’études ou chefs de projets dans les services (centraux mais aussi académiques) spécialisés dans l’évaluation et les services des ministères de l’Éducation, mais aussi dans les autres ministères qui ont en charge des activités de formation, d’insertion ainsi que dans les collectivités territoriales.
Par ailleurs, un grand nombre d’étudiants en formation initiale, en raison de la masterisation des métiers de l’enseignement, viseront l’obtention d’un Master pour pouvoir présenter les concours principalement de Professeur des Ecoles et de Conseiller Principal d’Éducation. Le Master Expertise sociologique et économique en éducation (analyse, enquêtes, évaluation) propose des contenus à même de les préparer à ces concours et aux métiers y afférant en termes de connaissance des systèmes éducatifs.[/kc_column_text][/kc_accordion_tab][kc_accordion_tab title="Scolarité" _id="260403"][kc_column_text _id="229"]
Secrétariat Sciences de l'éducation
Département Sciences de l'éducation - Bureau R10 - 6 bvd Gabriel - 21000 DIJON
Solène Chasez Tél. 03 80 39 37 88
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